Sûrement que vous le savez déjà.  Mais j’avais envie de vous le dire. Il n’y a pas si longtemps de cela, j’étais à l’abattoir de Port Bouet, à Abidjan. Je retrouvais des amis et je decouvrais le lieu. Moi qui avait fait la moitié de ma vie dans la capitale, je ne decouvrais l’abattoir que maintenant. Et pourtant j’en avais entendu parler. Pas de la viande fraîche en quantité, en qualité et en diversité, qui s’y vend, mais des stands de vente de cette viande braisée au feu de bois, relevé par des épices: Le choukouya.
Le Choukouya
Nous avons choisi le stand le plus bondé,  mais également avec la meilleure réputation.  On appelle ce « magasin » de saucisses, de choukouya de mouton, de boeuf, de poulet, « CAPORAL ». Et c’est bon, très bon. Salé à point, pimenté un peu au delà des limites, tendre, Caporal méritait sa réputation.
Le Choukouya en lui même,  en dehors même de son cuisinier, reste délicieux,  c’est un reel site touristique. Il réunit,  égaye. Je ne l’ai pas su avec Caporal.
Depuis petite, je le sais. Du vieux Burkinabé à Bondoukou, au nigerien à l’avenue 21 à Treichville avenue 21, en passant par Abdoul à Angre-Cocody…
Je vous laisse sur cette recommandation: Ne le mangez pas seul. Il est encore plus doux quand vous le partagez avec quelqu’un.

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